À noter
La qualité des milieux est surveillée par une équipe de Nantes Métropole, la cellule opérationnelle de prévention des risques, qui intervient en complément des services de l’État.
En plus de conseils et bons réflexes à adopter, le Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM) informe les habitants des risques majeurs existants à Nantes et sur l’ensemble du territoire de la métropole. Ces risques sont :
Des actions de sensibilisation sont régulièrement mises en place auprès de la population (événement « Qui l’eût crue » en 2017…).
En cas d’événement grave, la population est alertée via différents moyens (sirènes, panneaux lumineux, sites internet, réseaux sociaux…) utilisés par les communes et la métropole nantaise, ainsi que les médias (France Bleu Loire Océan : 101.8 MHz). Le Plan Communal de Sauvegarde peut être activé, afin d’engager une réponse rapide et adaptée (mise en place d’hébergements de secours, apport d’eau potable…).
Ces risques sont pris en compte dans les projets métropolitains (PLUm, adaptation aux changements climatiques) afin de réduire les conséquences négatives d’un événement grave.
Le territoire de la métropole nantaise est soumis au risque d’inondation. La Stratégie Locale de Gestion des Risques d’Inondation (SLGRI) est mise en œuvre dans un Programme d’Actions de Prévention des Inondation (PAPI) Loire aval, qui a pour objectif de se préparer à une inondation majeure de la Loire et de ses affluents, ou à des épisodes de ruissellement dus à de fortes pluies.
Des actions sont menées régulièrement afin de se coordonner avec les acteurs du territoire et de sensibiliser la population.
L’implantation des stations radioélectriques, l’exposition aux ondes électromagnétiques qui en résulte, la prévention, la surveillance et l’information sont autant de points encadrés par la loi.
Préserver la qualité de l’air et des milieux, c’est agir sur les émissions de polluants provenant de la circulation routière, de l’industrie, du chauffage des ménages et de tous les bâtiments ; c’est agir sur la manière dont la ville est fabriquée, permettre à l’air de circuler, avoir des îlots de fraîcheur sur l’ensemble du territoire, développer la biodiversité et la nature en ville, limiter l’étalement urbain... C’est ce que réalise Nantes Métropole avec tous les documents structurants que sont le Plan climat air énergie territorial, feuille de route transition énergétique, Plan local d’urbanisme métropolitain, Plan de déplacement urbain...
La qualité de l’air est surveillée par Air Pays de la Loire, association agréée par le Ministère de la transition écologique et solidaire, qui publie chaque jour l’indice de qualité de l’air.
À noter
La qualité des milieux est surveillée par une équipe de Nantes Métropole, la cellule opérationnelle de prévention des risques, qui intervient en complément des services de l’État.
À savoir
Il est possible de s’abonner à Alerte pollens afin d’être informé des pics de pollens dans l’agglomération nantaise
La Métropole a adopté le plan de prévention du bruit dans l’environnement (PPBE) à l’unanimité le 10 février 2017.
Nantes métropole est responsable, avec les maires des 24 communes, du bon état de la «défense externe contre l’incendie».
Concrètement, l’action de la métropole consiste à implanter de nouveaux poteaux ou bornes incendie, à entretenir les 6350 existants répartis sur le domaine public de l’agglomération, et à s’assurer que tous les secteurs à risques sont correctement couverts. Cette action est menée en collaboration avec les pompiers et les exploitants du réseau d’eau potable.
Nantes Métropole a confié la gestion de la fourrière animale sur son territoire à la Société protectrice des animaux (SPA), située à Carquefou. Les animaux errants doivent y être conduits. Toutes les démarches sont expliquées sur le site de la Maison de la tranquillité publique.